Pouvez-vous vous présentez ?

Hervé Aubert, 57 ans, Responsable produit Sud Est dans le commerce B to B et ayant pris le virus du foot en 76 dans le chaudron.  

Depuis quand êtes vous au club ?

Depuis 2016 en provenance de Rhône Crussol où j’avais vécu la montée en ligue des U17 au côté de Jerome et Allan Brunel.

Pourquoi avoir rejoint l’Olympique de Valence ?

Accompagné un club qui vise l’excellence a suscité mon intérêt, car au-delà des taches qui sont miennes il y a le plaisir de voir du beau jeu, mais aussi d’accompagner des éducateurs d’un bon niveau ce qui est toujours enrichissant.

Quelles sont vos missions au sein du club ?

Comme dirigeant, j’assure toutes les missions qui permettent à un match de se dérouler dans d’excellentes conditions. Je dirai que le rectangle vert est sous la responsabilité de l’arbitre et que tout ce qui tourne autour est dans mes prérogatives. Placer les visiteurs et les arbitres dans de bonnes conditions relève de mon domaine de responsabilité.

Quel est le moment le plus marquant ?

Je n’ai pas encore vécu un moment de grande intensité, mais la finale de la coupe au côté de Nicolas Penelon a été la conclusion d’une saison menée sans accros malgré les difficultés. Mais aussi la saison au côté de Logan où nous sommes restés constructifs et ambitieux jusqu’au dernier match alors que nous n’avions jamais vécu autant de défaites.

Comment voyez vous l’avenir du club ?

Avec beaucoup d’optimisme, car j’ai pour habitude de dire qu’un club de ce niveau se gère comme une entreprise et force est de constater que c’est le cas. Que ce club qui à la genèse du beau jeu a compris que pour monter les étages il faut y rajouter la culture de l’efficacité, car marquer c’est mieux. Je souhaite juste que si la volonté de faire monter les équipes fanions est légitime, on ne néglige jamais la formation des jeunes pour continuer à obtenir beaucoup de qualité dans les générations futures.