Dans le bon wagon des sérieux outsiders, voire mieux si affinités, l’Olympique de Valence, parvenu en outre jusqu’à un huitième tour de la Coupe de France qui le vit sérieusement bousculer le Paris FC, une formation de Ligue 2 (0-1, ap), a signé une première partie de saison en tous points remarquable.

Les statistiques disent beaucoup du potentiel d’un groupe. Elles traduisent la qualité d’une équipe, ses atouts certes mais également ses faiblesses. Elles se révèlent donc bien souvent éloquentes. C’est la raison pour laquelle, sans pour autant tirer des plans sur la comète, nous avons jugé utile de les publier sur notre site. Tout au long de cette trêve dite des confiseurs, vous pourrez ainsi quotidiennement découvrir de nouvelles données chiffrées. Autant d’éléments qui inclinent d’ailleurs à l’optimisme et à une ambition raisonnée.

Bien que promu en Régional 1, Valence n’a pas tardé à se mettre au niveau de la R1, l’emportant largement à Montélimar lors de la journée inaugurale (1-3). De bon augure. D’autant que le deuxième déplacement et derby valut aux Drômois de s’imposer au Pouzin face à Rhône Vallées sur le score sans appel de 5-1 et ainsi de se relever sans attendre de la cruelle désillusion subie à domicile face à Thonon-Evian (1-4). Trois premiers résultats attestant de la valeur du groupe valentinois mais également de la qualité de la concurrence représentée au premier chef par des Haut-Savoyards, cependant éliminés en Coupe, au recrutement XXL.

Au final, sept matches plus loin, l’OV a maintenu son rythme initial, pointant au sixième rang (voire au cinquième: la réserve grenobloise ayant écopé de quatre points de pénalité) avec 17 unités au compteur. Un bilan flatteur dans la mesure où l’OV compte deux matches en retard et a, de surcroît, disputé sept de ses dix rencontres à l’extérieur.

Retrouvez les stats à mi-saison tous les jours sur notre site.